le « Yin’Jing », ce qui peut être traduit par "Tige céleste".
Les neuf manières d'agiter la "Tige de Jade" La "Tige de Jade" ? Tu auras bien sûr reconnu qu'il s'agit du pénis, chez les Taoïstes. Mais cette appellation est celle qu'on retient plutôt par amusement.
 
En réalité, en Chine, d’où vient la philosophie du Tao, on l’appelle plus souvent le « Yin’Jing », ce qui peut être traduit par "Tige céleste". Ce terme n’a pas du tout de consonance « populo-érotico-vulgaire », comme c’est le cas pour les mille et une appellations qu’on lui donne en occident. Non, le mot « Yin’Jing » évoque le côté sacré du pénis, dans son sens spirituel.
Symboliquement il désigne le rapport entre ce membre (en érection)...
et l’accès à l’état divin. On lui consacre des fêtes et des cérémonies dans de nombreux pays asiatiques, et on pratique depuis toujours le « Yin’Jing Tao », qui est le massage sensuel et énergétique du pénis selon l’enseignement spirituel du Tao.
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En attendant, voici un texte, dont l'authenticité est très loin d'être prouvée, mais dont le ton te fera sourire. Et sourire, c'est déjà une base indispensable à l'harmonie sexuelle !
 
 
Les neuf manières d'agiter la Tige de Jade selon le maître taoïste Tong Xuan :
- Un, s'en servir comme un fléau, de droite et de gauche, à la manière dont un général courageux disperse les rangs ennemis.
- Deux, la mouvoir de haut en bas comme un cheval sauvage qui fait le saut de mouton en passant une rivière.
- Trois, se retirer et s'enfoncer comme un vol de mouettes qui jouent dans les vagues.
- Quatre, alterner rapidement des coups profonds et peu profonds, à la manière d'un moineau becquetant des grains de riz délaissés dans le mortier...
- Cinq, des coups profonds et peu profonds en succession régulière, comme de grosses pierres s'abîmant dans la mer.
- Six, pousser en avant avec lenteur, comme un serpent qui entre dans son trou pour hiverner.
- Sept, des poussées rapides, à la manière d'un rat effrayé qui se précipite dans son trou.
- Huit, s'élever lentement, comme en traînant les pieds, à la manière d'un faucon agriffant un insaisissable lapin.
- Neuf, s'élever d'abord puis piquer du nez, comme une grande voile qui brave le coup de vent.
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